Les investisseurs de la génération Z, tous futurs actionnaires ?
La génération Z investira t-elle enfin son épargne dans l’économie réelle ? Rien n’est moins sûr… et c’est peut-être une bonne nouvelle.
La génération Z investira t-elle enfin son épargne dans l’économie réelle ? Rien n’est moins sûr… et c’est peut-être une bonne nouvelle.
Les prêts garantis par l’État pénalisent la trésorerie des petites entreprises. Mais aussi leur capacité à investir dans des modèles d’affaires plus durables.
La hausse des taux a freiné l’engouement des investisseurs. Et obligé les start-up à ne pas compter forcément sur une levée de fonds pour se développer.
Après la liquidation d’Habitat, les dirigeants d’entreprises en difficulté s’inquiètent : les reprises d’entreprises peuvent-elles encore fonctionner ?
En moyenne, les start-up qui ont déposé une marque ou un brevet ont 10 fois plus de chances d’obtenir un financement.
Limiter la conflictualité avec des actionnaires activistes se travaille. Mais le risque zéro n’existe pas.
ONG, fonds d’investissement et entreprises engagées se regroupent dans des coalitions inédites d’actionnaires activistes. Le but ? Influer sur la stratégie climatique des entreprises.
En 2022, Bercy a validé 40% des dossiers déposés par des investisseurs étrangers pour racheter des entreprises stratégiques ou sensibles. Dont la moitié sous conditions.
De plus en plus d’actionnaires militent activement pour que les grandes entreprises se mobilisent sur la question climatique. Et les assemblées générales sont une agora particulièrement intéressantes pour eux.
Le gestionnaire d’épargne Yomoni vient de recruter un nouveau directeur des investissements : Olivier Malteste. Interview.
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