Bonne nouvelle : l’édition 2024 du baromètre RSE de Vendredi et Kantar note que de plus en plus d’entreprises dédient des ressources au sujet. Des progrès qui s’expliquent notamment par la réglementation.
On pensait que la meilleure façon d’échapper aux bullshit jobs était de s’engager sur la voie de la responsabilité. Mais les déconvenues des « talents verts » semblent indiquer le contraire.
Elles ont été les grandes absentes de la transition numérique. Vont-elles être effacées de la transition écologique ? C’est le risque, à mesure que le sujet s’invite dans les directions financières des entreprises.
Abandonner son produit phare pour être plus responsable, c’est le pari de Photoweb. Interview de Claire Bezal, directrice marketing du groupe.
Alors que le gouvernement a présenté fin novembre la stratégie nationale biodiversité, les entreprises doivent s’emparer du sujet. Et pas comme elles l’ont fait pour le carbone…
À mesure que la législation fait peser sur les entreprises de nouvelles obligations en matière de développement durable, celles-ci se dotent de nouveaux profils.
Vague réglementaire, nouveaux business models, restauration de la nature… Qu’est-ce qui attend les entreprises en matière d’engagement environnemental en 2024 ? On fait le point avec Sylvain Guyoton, Chief Rating Officer d’EcoVadis.
Déserter les rangs de son entreprise si elle n’est pas alignée avec ses convictions écologiques porte un nom : le climate quitting. Le phénomène touche surtout les plus jeunes, et présente un réel risque pour les entreprises.
Créer son activité professionnelle en fonction de ses convictions écologiques, c’est le pari réussi de Martin Habfast, co-fondateur d’Umiami.
Où est le « S » de la RSE ? Pas sur les réseaux sociaux, visiblement, où les sujets les plus discutés tournent principalement autour de l’environnement.
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