Optimiser, économiser, planifier : l’IA trouve des applications évidentes dans le domaine de l’écologie. Si elle constitue un outil essentiel, elle ne peut pas être la réponse à tous les maux liés à un modèle fondé sur la surconsommation.
Oui, il faut développer des modèles de fondation alternatifs à ChatGPT. Mais c’est loin d’être le seul chantier à mener pour que l’Europe s’impose sur la scène internationale de l’intelligence artificielle générative.
Même si l’AI Act, voté le 13 mars, n’entrera en vigueur que dans plusieurs mois, les entreprises doivent s’y préparer dès maintenant.
L’intelligence artificielle présente de plus grandes menaces pour les emplois des femmes que ceux des hommes. Mais elle constitue aussi un outil d’autonomisation encore trop peu exploité.
L’intelligence artificielle ne va pas seulement remplacer les « petites mains ». Elle va aussi fragiliser le rôle des travailleurs expérimentés.
Former ses salariés à l’intelligence artificielle, oui mais comment ? Et comment s’assurer que ces nouvelles compétences seront durables ?
Les salariés espèrent tirer de l’intelligence artificielle un meilleur équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle, notamment grâce à des semaines de travail plus condensées.
Les entreprises sont nombreuses à se lancer dans des projets d’intelligence artificielle. 2024 sera l’année où les espoirs devront se concrétiser.
Dernière ligne droite pour l’AI Act avant sa mise en œuvre. Il édicte de nouvelles règles auxquelles les entreprises qui développent ou utilisent l’intelligence artificielle devront se conformer.
L’avènement de ChatGPT a aussi été celui des craintes pour l’emploi. Et s’il fallait plutôt se réjouir des progrès des intelligences artificielles génératives ?
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