Bonne nouvelle : les entreprises s’alignent de plus en plus avec les objectifs de développement durable de l’Onu ! Mais celles-ci ne doivent pas oublier que la durabilité doit inclure le social.
Vous pensez que la RSE se résume encore à un joli storytelling ? Faux ! De plus en plus, la responsabilité pèse sur les directions financières des entreprises. Prochaine étape : que le sujet infuse à toutes les strates.
Entre un soutien à court terme et des investissements nécessaires à long terme, il faut parfois choisir. Et la France ne fait pas toujours le bon choix, estime Benjamin Fremaux, responsable Énergie et Climat de l’Institut Montaigne.
Les entreprises technologiques ont-elles vraiment besoin de faire de la RSE ? Comment fédérer les équipes autour du sujet ? Et les clients ? Entretien avec Charlotte Abdelnour, d’Octo Technology.
Enthousiastes ou contraintes, les entreprises tentent de réduire leur empreinte environnementale pour doper et sécuriser leur activité.
Les entreprises doivent pouvoir répondre aux exigences environnementales des candidats. Mais sans verser dans le greenwashing, au risque d’un effet boomerang.
À mesure que de nouvelles normes RSE voient le jour, les PME doivent rester vigilantes : elles vont désormais devoir communiquer « comme les grandes » sur leurs engagements. Pour rester dans la course, elles n’auront pas d’autre choix que de se doter de nouveaux talents.
Quand on parle de RSE, on visualise les engagements sociaux et environnementaux des entreprises. Ceux-ci se traduisent en opportunités économiques, en séduisant collaborateurs, consommateurs et grands groupes.
En opposition à la comptabilité classique qui se limite à la performance financière, plusieurs modèles alternatifs ont été pensés pour intégrer l’impact des entreprises sur l’humain et l’environnement.
Dans leurs appels d’offres, les donneurs d’ordre exigent des performances RSE de plus en plus poussées. Comment les fournisseurs peuvent-ils s’adapter ?
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