L’Hexagone bataille, au nom de la souveraineté, pour faire émerger des champions européens de l’intelligence artificielle. Mais le secteur se heurte à une chaîne de valeur maîtrisée de bout en bout par des acteurs américains.
Que le jour « off » soit le même pour toute une entreprise, qu’il dépende des équipes, qu’il soit facultatif ou obligatoire : les entreprises adaptent le concept à leurs besoins. Parfois aux dépens des salariés.
Pour réduire leur empreinte environnementale, pas de petits gestes : les entreprises peuvent, dès le choix de leur mobilier de bureau, faire leur part.
Former ses salariés à l’intelligence artificielle, oui mais comment ? Et comment s’assurer que ces nouvelles compétences seront durables ?
L’écosystème quantique français présente de nombreux atouts. Mais doit faire face à plusieurs défis pour espérer prendre de vitesse ses concurrents, notamment américains.
Le député LR Antoine Vermorel-Marques a déposé une proposition de loi visant à instaurer un malus aux marques d’ultra fast fashion. L’un des objectifs : réduire leur impact sur l’environnement.
Les sociétés coopératives présentent beaucoup d’atouts pour participer à l’effort de réindustrialisation. Mais manquent de carburant pour décoller.
Les nouvelles technologies sont indubitablement un vecteur de performance pour les entreprises. Mais restent bien impuissantes face à de grands défis sociétaux.
Des intelligences artificielles conçues par et pour les femmes, aussi bien que par et pour les hommes ? C’est possible, pour peu que l’on prenne la peine de former leurs concepteurs aux biais de genre. On a suivi une formation pour cela. Débrief.
Ces dernières années ont mis l’accent sur la façon dont les entreprises devaient dialoguer avec la société en tant que partie prenante. Désormais, ce sont elles qui sont parties prenantes de la société.
© 2024 Intelekto – France
