Le véritable coût du « quoi qu’il en coûte »
Alors que les médias ont largement relayé la somme de 240 milliards d’euros, le « quoi qu’il en coûte » englobe une réalité plus vaste.
Alors que les médias ont largement relayé la somme de 240 milliards d’euros, le « quoi qu’il en coûte » englobe une réalité plus vaste.
Méconnus du grand public et ignorés par les politiques il y a encore dix ans, les tiers-lieux deviennent aujourd’hui des viviers économiques importants dans le territoire. Sans trop s’investir, les décideurs des collectivités ont un rôle à jouer.
Le Royaume-Uni envisage d’autoriser le recours à des algorithmes d’intelligence artificielle sans supervision humaine. L’objectif : assouplir sa législation pour renforcer la compétitivité de ses entreprises.
Les entreprises qui travaillent à l’international ont intérêt à se doter d’une salle de marché, entre autres pour se protéger face aux risques de change.
Des problèmes de conflits d’intérêts, de frais de transaction ou de structuration : après l’engouement suscité par les SPACs dont le nombre a explosé en 2020, ces véhicules financiers sont critiqués. Des pistes d’adaptation sont avancées.
Limiter son empreinte carbone, c’est bien, mais lutter contre la perte de la biodiversité, c’est mieux. C’est urgent, mais compliqué : ici, il n’est pas question de compenser, mais bien de lutter contre une dynamique qui semble difficile à stopper.
Avec l’installation de purificateurs d’air et de capteurs de CO2 dans les écoles, les collectivités payent cher cette rentrée scolaire. Qui doit payer quoi ?
Les aides de l’État ont aussi servi à soutenir des entreprises déjà en difficulté avant la crise : on les appelle les entreprises zombies, et elles pèsent parfois lourd sur l’économie.
Le télétravail permet-il aux entreprises de faire des économies ? C’est l’argument avancé par Bercy pour inciter les sociétés à s’y mettre. Mais le calcul est plus compliqué qu’il n’y paraît.
Faire entrer des particuliers à son capital ? C’est le principe du crowdinvesting. Les opportunités sont nombreuses, mais attention à la gestion des actionnaires.
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