Une cinquantaine d’experts ont formulé plusieurs suggestions à la Commission européenne pour revoir le Cyber Resilience Act. Et revenir sur l’obligation de divulgation des vulnérabilités non résolues.
Le paiement de la rançon doit rester la dernière solution des entreprises victimes d’une cyberattaque. Mais il serait présomptueux de l’écarter par principe.
L’écologie devient un critère de sélection des offres de cybersécurité. Mais jamais au détriment de l’efficacité, qui reste la principale préoccupation des clients.
Une première cyberattaque bien gérée dope la résilience de l’entreprise. Mais ce stress test se révèle fatal pour nombre de petites structures.
Non seulement les ransomwares se démultiplient mais ils se scindent en de nombreux variants. Les entreprises peinent à faire face.
Les pirates cherchent à déclencher chez leurs victimes des émotions les poussant à agir sans réfléchir. La parade ? Garder la tête froide.
La porosité des usages professionnels et personnels des dirigeants et la criticité des informations qu’ils détiennent en font des cibles idéales pour les pirates.
Le Cesin s’est offusqué dans un position paper des pratiques des agences américaines de notation cyber. Et appelle de ses vœux à davantage de souveraineté européenne.
Pour être parées pour la rentrée, les entreprises doivent tirer parti de l’accalmie des mois d’été afin de revoir leur cybersécurité.
L’innovation propulse les start-up de la cybersécurité française sur la scène internationale. En 2023, elles ont levé 341 millions d’euros, principalement dans les domaines de l’intelligence artificielle, de la sécurisation des données et de la personnalisation des offres destinées aux PME.
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