SMiShing, vishing, bulk phishing… Les techniques de phishing se perfectionnent, et rendent la menace difficile à évaluer. Les conséquences, elles, sont très concrètes.
L’exploitation d’une faille de sécurité reste la deuxième cause de vulnérabilité des entreprises, derrière le phishing. Une négligence que les entreprises victimes paient de plus en plus cher.
Les investissements étrangers qui concernent les entreprises aux activités stratégiques sont soumis à un contrôle du gouvernement. Mais ce qui est considéré comme « stratégique » évolue. État des lieux.
Seuils de participation, activités concernées par les contrôles, délais de réponse… Au sein de l’Union Européenne, le dispositif français de contrôle des investissements étrangers n’est pas particulièrement sévère.
La violation de données a des conséquences légales, financières et réputationnelles. Autant pour l’entreprise censée les protéger que pour ses partenaires ou clients.
90% du web n’est pas accessible par Google et consorts. Soit il est protégé par mot de passe (comptes bancaires, bases de données), soit il se cache dans des sous-réseaux spécifiques où l’on trouve vraiment de tout.
Hors rançon, une attaque de type ransomware peut coûter jusqu’à 280 000 euros à une PME très affectée. Une addition salée notamment imputable au manque de formation en cybersécurité des équipes : 90% des incidents de sécurité proviennent d’une erreur humaine.
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