Avoir des vulnérabilités en matière de cybersécurité, c’est prendre le risque de perdre des données. Mais pas seulement : on peut aussi perdre des clients, son assurance, ou des financements.
OK, les antivirus, ça coûte cher. OK, recruter un RSSI, aussi. Mais si l’on vous disait qu’une panne cyber de quelques heures seulement peut coûter plus de 100 millions d’euros ?
Détecter ses failles de sécurité, mais aussi savoir comment se positionne sa société par rapport aux autres : c’est tout l’enjeu de ces solutions de notation.
Dès le 1er octobre 2023, plusieurs services en ligne devront afficher de manière lisible, claire et compréhensible un « score » de cybersécurité. Pour certains, il s’agit d’une avancée en demi-teinte qui soulève déjà quelques questions.
Une bonne cybersanté est un réel atout business. Alors pour mettre toutes les chances de son côté, voici 3 points de vigilance à garder à l’esprit.
À nouvelles situations de crise, nouveaux profils de négociateurs ! Ancien hackeur, Florent Curtet avait la particularité de négocier avec les ransomgangs.
SMiShing, vishing, bulk phishing… Les techniques de phishing se perfectionnent, et rendent la menace difficile à évaluer. Les conséquences, elles, sont très concrètes.
Penser qu’il est possible de faire l’impasse en termes de protection face au phishing serait une grave erreur. Ces 4 exemples prouvent que même les grandes entreprises sensibilisées peuvent enregistrer de lourdes pertes en cas d’attaque.
Pédagogie, entraînement, protection… De nombreuses solutions aident les entreprises à se prémunir des tentatives de phishing. Découvrez-les dans notre cartographie.
Face au phishing, l’erreur reste humaine, et rien ne vaut de bonnes campagnes de sensibilisation – c’est-à-dire, personnalisées – pour éviter les attaques !
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