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Géraldine Russell
Géraldine Russell a travaillé 3 ans au service Économie du Figaro.fr avant de rejoindre la rédaction de Maddyness. Durant 5 ans, elle a couvert l’actualité des start-up et des fonds d’investissement, d’abord en tant que journaliste puis en tant que rédactrice en chef adjointe. Elle a intégré l’équipe d'Intelekto en mars 2022.
L’abondance d’argent dans la place a accru la concurrence entre fonds d’investissement. Pour se distinguer, Jolt a fait le choix de développer son propre outil de sourcing et de qualification des dossiers.
Sous la pression de l’arrivée d’acteurs étrangers, les fonds d’investissement français cherchent à élargir leur sourcing. Leur mission : trouver des pépites inédites sans revoir à la baisse leurs critères de sélection.
En structurant en interne la recherche de co-investisseurs pour leurs participations mais aussi des études de marché, les fonds cherchent à court-circuiter les leveurs et banquiers d’affaires.
Les crises à répétition le prouvent : les organisations doivent apprendre à anticiper et maîtriser les risques. Dans ce contexte, l’intelligence économique se révèle une précieuse alliée pour les dirigeants.
De la formation des collaborateurs à la protection de leurs actifs immatériels, les entreprises disposent de différents moyens de sécurisation de leur activité. Une manière de limiter les conséquences d’une conjoncture par nature incertaine.
Un hacker qui se fait passer pour le CEO, une demande de changement de RIB, des paiements bloqués… et une organisation maîtrisée, qui a permis à Lojelis de limiter les frais lors d’une cyberattaque.
Hors rançon, une attaque de type ransomware peut coûter jusqu’à 280 000 euros à une PME très affectée. Une addition salée notamment imputable au manque de formation en cybersécurité des équipes : 90% des incidents de sécurité proviennent d’une erreur humaine.
